lundi 25 juin 2012

Diaporama



Afin de connaître en détail nos actions, nous vous invitons à cliquer sur ce lien :

Ceci est notre présentation orientée vers les Entreprises.
C'est un fichier PDF de 53 pages, 9.2 Mo.



Bonne lecture !



Pour nous contacter :

Twitter : h2ogabon
Email - h2ogabon@yahoo.fr / h2oafriquefrance@yahoo.fr
Tel - 00 241 07 53 77 70.

Siège social à Port Gentil
Délégation permanente à Libreville

ONG H2O Congo à Brazzaville, Congo
ONG H2O Mauritanie à Nouakchott, Mauritanie
Bureau de représentation à Paris, France
Bureau de représentation à Londres, Royaume Uni



Liste des membres :
Président,   Mr H. M. AUGUSTE, Membre de la Commission Scientifique,
Secrétaire Général par intérim, Mlle B. ABEGUE ELLA,
Trésorier, Mr R. HELD (Décédé au mois Août) Remplaçant Mr M. AUGUSTE,
Président de la Commission Scientifique, Mr le Professeur P. POSSO,
Déléguée pour la Province de L’Estuaire, Mlle B. ABEGUE ELLA,  mais par intérim Mr A. ENGONE ONDO,
Délégué pour la Province du Haut Ogooué, Mr P. ABESSOLO LEKOGO,
Délégué pour la Province de l’Ogooué Maritime, Mr J. BINGOULOUS,
Délégué pour la Province du Woleu N’Tem, Mr A. ENGONE ONDO,
Mr. G. BOUKAL,
Mr. A. DABO,
Mr. le Dr Ed. DUBOZE, Membre de la Commission Scientifique,
Mr. Y. FOUTY,
Mr. D. KOUELE,
Mr. A. LAWSON NKOLO,
Mr. le Dr J-D. MBEGA, Membre de la Commission Scientifique,
Mr. F-D. MOUCKWANGUI,
Mr. O. NIAPA,
Mr. le Dr N. RABENKOGO, Membre de la Commission Scientifique,
Mr. J-B. SOUNA,

Mlle C. TCHIMBOWA, salariée, Assistante du Bureau

Mr. Olivier KERFANT - H2O Afrique France, Correspondant, Paris, France
Mr. Alain Lévy BOUSSAMBA - H2O Africa UK, Correspondant, Londres, UK
 

samedi 23 juin 2012

Ouverture du blog de l'ONG H2O GABON

Ouverture ce jour du 1er site internet de l'ONG H2O GABON !

Pour téléchargez notre brochure, cliquez ici.


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Email - h2ogabon@yahoo.fr / h2oafriquefrance@yahoo.fr
Tel - 00 241 07 53 77 70.

Siège social à Port Gentil
Délégation permanente à Libreville




Liste des membres :
Président,   Mr H. M. AUGUSTE, Membre de la Commission Scientifique,
Secrétaire Général par intérim, Mlle B. ABEGUE ELLA,
Trésorier, Mr R. HELD (Décédé au mois Août) Remplaçant Mr M. AUGUSTE,
Président de la Commission Scientifique, Mr le Professeur P. POSSO,
Déléguée pour la Province de L’Estuaire, Mlle B. ABEGUE ELLA,  mais par intérim Mr A. ENGONE ONDO,
Délégué pour la Province du Haut Ogooué, Mr P. ABESSOLO LEKOGO,
Délégué pour la Province de l’Ogooué Maritime, Mr J. BINGOULOUS,
Délégué pour la Province du Woleu N’Tem, Mr A. ENGONE ONDO,

Mr. A. DABO,
Mr. le Dr Ed. DUBOZE, Membre de la Commission Scientifique,
Mr. Y. FOUTY,
Mr. D. KOUELE,
Mr. A. LAWSON NKOLO,
Mr. le Dr J-D. MBEGA, Membre de la Commission Scientifique,
Mr. F-D. MOUCKWANGUI,
Mr. O. NIAPA,
Mr. le Dr N. RABENKOGO, Membre de la Commission Scientifique,
Mr. J-B. SOUNA,

Mlle C. TCHIMBOWA, salariée, Assistante du Bureau

Mr. Olivier KERFANT, H2O Afrique-France, Correspondant, Paris, France

vendredi 2 mars 2012

« Gabon Industriel » vs « Gabon Vert », les incohérences Port-gentillaises

« Gabon Industriel » vs « Gabon Vert », les incohérences Port-gentillaises.
Communiqué de presse - 2 Mars 2012

Depuis l’annonce de la création de la zone franche de l’île Mandji, qui s’est transformée par la suite en Zone d’Intérêt Economique de l’île Mandji, nous constatons que malheureusement le « Gabon Industriel » prime largement sur le « Gabon Vert », car la définition de la politique du « Gabon Vert » reste floue. Ce qui permet aux industries de différents pays, peu scrupuleuses de l’Environnement de s’engouffrer dans cette brèche laissée béante. En ce qui concerne la ville de Port-Gentil, la politique environnementale de la ville dénommée « Pilier Vert » n’existe pas, pas de réflexion concertée à ce sujet, pas de cahier des charges. Et plus simplement pas le moindre embryon d’idées à ce sujet… Comment, dans cet état de fait, nos élus peuvent-ils réagir face à ces marchands du temple si bien rodés à ces manœuvres et pratiques fallacieuses, pour arriver à nous vendre n’importe quoi, au grand mépris de notre santé, de notre environnement et de notre futur ?
Allons plus avant dans le constat et la réflexion sur la Zone d’Intérêt Economique de l’île Mandji : La création de la ZES s’est traduite par la destruction de plusieurs centaines d’hectares de mangrove qui protégeaient la ville de Port-Gentil des inondations, de la houle océanique et des cycles de tornades - phénomènes qui ne feront que s’amplifier au fil des ans à venir, ayant comme facteur aggravant le changement climatique. Dans ce domaine nous n’avons fait qu’effleurer les risques écologiques (cf. article paru en ligne « Haro sur Port-Gentil ou La ville de Port-Gentil exposée à des risques environnementaux », Novembre 2011). Qui  payera les conséquences dévastatrices de cette atteinte majeure à la mangrove qui protégeait Port-Gentil gratuitement ? Nous, malheureusement.
Il y a quelques temps déjà, nous avons eu la chance d’assister à la consultation publique organisée par le groupe OLAM, qui est un acteur essentiel de cette ZIEC, puisque selon leur présentation, il devrait y implanter différentes activités. Lors de cette présentation sur la ZIEC, dans l’ordre des idées fantaisistes, nous avons lu le projet d’hôtels et des zones réservées à l’aquaculture/pisciculture. Comment peut-on prétendre installer les activités citées ci-dessus à proximité immédiate d’un complexe pétrochimique (une raffinerie) et chimique (une usine d’engrais type AZF et une usine d’ammoniac) ?
En ce qui concerne l’activité principale d’OLAM, l’usine d’engrais chimique, il est vrai que la matière première est proche (le gaz des torchères). Or dans un monde agricole actuel qui est en profond bouleversement, de plus en plus d’agriculteurs abandonnent les engrais chimiques, car trop polluants et trop risqués pour la santé de tous (agriculteurs et consommateurs). - Ces risques ont été établis par de nombreuses études scientifiques de par le monde- . N’est-ce pas pour cela que l’on a décidé de créer ces chimères qui l’on appelle « les  OGM ou Organismes Génétiquement Modifiés » pour éviter d’utiliser des engrais et des pesticides, qui causent de gros dégâts environnementaux, et contribuent à la pollution des sols, de l’air, des nappes phréatiques, des fleuves et des océans, tout ces efforts faits pour une production agricole mondiale stagnante qui n’empêche pas le tiers monde de mourir de faim… une utopie en remplace une autre. Dans un monde où les risques sanitaires sont de plus en plus identifiés, dénoncés et liés à notre alimentation, comment peut-on envisager vendre des engrais chimiques. Quand à l’argument présenté par les promoteurs de cette usine, « fabriquer des engrais pour l’agriculture villageoise », il ne tient pas puisque la jeune génération ne daigne pas retourner à la terre, et que l’agriculture villageoise est principalement une agriculture biologique (exemple : le projet de 800 hectares de terres lancé par le Président Sassou Nguesso dans son village de Edou dans le Nord du Congo). A l’international, on a et on va avoir de plus en plus de mal à trouver des débouchés  pour ce type de produits dangereux dans les années à venir. Car la conscience des peuples évolue vers un mieux être et un mieux manger.
Pour prolonger notre propos, nous aimerions rappeler aux lecteurs l’accident du 21 septembre 2001, à Toulouse (France). L’usine AZF de Toulouse est détruite par l’explosion d’un stock de nitrate d’ammonium (engrais chimique), entraînant la mort de 30 personnes, faisant 2 500 blessés, laissant 14 000 personnes atteintes de lourds traumatismes psychiques et de lourds dégâts matériels (environ 2 milliards d’Euros). Résultat : une ville profondément meurtrie, une ville en procès contre la société Grande Paroisse (groupe Total) depuis plus de 10 ans. A ce jour aucune indemnité n’a été versée au titre des dommages. Comme nous le voyons ci-dessus, ce genre d’industrie n’est pas sans danger. Le 1er risque est la pollution de l’air en cas d’incident ou d’accident. En fonction de la concentration et de la direction du vent, l’air ainsi contaminé provoquerait des vertiges, des nausées, voir la mort par asphyxie de la population en fonction de sa proximité.  Le 2ème risque est celui de la pollution par débordements des eaux usées ou par accident : la proximité de la mer engendrerait l’extinction immédiate de la Faune et de la Flore aquatique sur toutes les zones aquatiques polluées. Le 3ème risque, et non des moindres, est l’explosion de l’usine. Nous en avons déjà vu plus haut  les effets et les résultats, sachant que la déforestation des alentours de Port-Gentil et son particularisme urbain ne jouent pas en notre faveur. L’étude d’impact environnementale fournie était digne « d’un rapport pour bisous nounours, où tout le monde, il est gentil et tout le monde, il est beau ». Et nous avons bien noté qu’elle n’a été rendue disponible matériellement que très peu de temps aux lecteurs pertinents. Pourquoi ?
Certaines questions nous brûlent les lèvres :
Ø  Pourquoi s’entêter à vouloir installer une telle industrie à proximité immédiate de la ville ?
Ø  A-t-on pris en compte le voisinage trop proche de 2 autres industries à tendance explosive, le terminal pétrolier du Cap Lopez et la raffinerie de la SOGARA ?
Ø  Ne risque-t-on pas « un effet boule de neige » ?
Ø  Sans être un oiseau de mauvais augures, en cas de pollution de l’eau ou de l’air serait-on capable de circonscrire et d’endiguer ces dernières ?
Ø  Dans le cas d’une explosion de type AZF, avons-nous assez de lits pour prendre en charge un nombre très important de patients dans notre hôpital où déjà les places sont limitées ?
Ø  Avons-nous un corps médical en nombre et capable de traiter ce genre de pathologies liées aux accidents majeurs industriels ?
Ø  En cas de pollution de la mer, qui va restaurer et payer les dégâts causés à l’Environnement, donc à notre bien commun ?
Ø  En cas de pollution de l’air, qui va prendre en charge et indemniser les personnes ou les ayants droits ?
Ø  En cas de catastrophe majeure, au final, qui  va payer ?

Nous vous laissons répondre à ces légitimes interrogations en vos âmes et consciences, puis longuement méditer sur la carte ci-dessous. Gardez bien à l’esprit que des vies et l’avenir d’une ville sont en jeu.
Carte mondiale des pollutions et accidents industriels
Depuis le début du 20ème siècle
Cette carte provient du Hors-série du « Monde diplomatique » L’Atlas environnement, Analyses et solutions.
Nous aimerions terminer notre propos par citer une phrase qui pourrait servir de maxime, elle nous vient de l’inventeur du terme scientifique « biodiversité », l’Entomologiste et biologiste américain, Professeur Edward Osborne WILSON, dont voici la teneur «L’humanité ne se définit pas parce qu’elle crée, mais par ce qu’elle choisit de ne pas détruire ».
H2O GABON, Association pour la Protection de la Nature et de l'Environnement, à but non lucratif (régie par la Charte de la Terre), B. P. 1991, PORT-GENTIL (GABON)
Courriel: h2ogabon@yahoo.fr
Tél
: 00  241 07 53 77 70


La presse nous cite :

Gabon Review - Gabon Industriel versus Gabon Vert à Port Gentil?
Afriscoop - Port Gentil subira t'elle un drame écologique à la Mpila?
Afrik.com - La Zone franche de l'ile Mandji en danger ?

Ce communiqué de presse a été repris par KOACI et Gabon Enervant.

jeudi 23 février 2012

Gabon-Henri Michel Auguste : "Nous voulons éradiquer le sac plastique dans ses formes les plus polluantes"








 

Interview du président de l’ONG H2O GABON

Afrik.com est un organe de presse panafricain avec 12 millions de lecteurs réguliers.
Le président de l’ONG H2O GABON, Henri Michel Auguste, qui travaille depuis 2005 pour la protection de la nature et de l’environnement dans le pays d’Ali Bongo Ondimba, s’est lancé avec son organisation dans le combat contre l’utilisation des sachets plastiques polluants, des piles non rechargeables et des batteries. Il estime que si les hommes n’arrêtent pas de polluer la nature à travers leurs comportements, la terre deviendra dans un avenir pas très éloigné une véritable vallée de larmes. Il faut donc des décisions politiques courageuses pour sauver l’humanité et permettre aux prochaines générations d’avoir une terre habitable.

Afrik.com : Qu’est-ce que H2O GABON ?
Henri Michel Auguste :
H2O GABON est une ONG qui a été créée par la volonté de gens venant de différents horizons socioprofessionnels en 2005. Elle tend à être selon notre devise « Une aventure humaine de gens passionnés par la protection de la nature et de l’environnement ».

Afrik.com : Quels sont les objectifs de votre ONG ?
Henri Michel Auguste :
H2O GABON travaille dans la protection de la nature et de l’environnement. Nous sommes un instrument de contradiction et une force de proposition. Dans la protection de l’environnement, nous voulons éradiquer le plastique dans ses formes les plus polluantes, les piles non rechargeables et les batteries, en proposant des solutions écologiques viables et durables dans le secteur de la gestion des déchets en amont et en aval et dans le secteur des eaux usées et des pollutions par hydrocarbures. Dans le domaine de la protection de la nature, nous voulons développer une activité d’écotourisme dans les différents parcs nationaux, participer aux différents programmes de protection des espèces phares, et créer une aire protégée et dirigée dans le sud de l’Île Mandji. Nous souhaitons également avoir des représentations dans les 9 provinces du Gabon et dans la majorité des pays africains. Nous existons déjà dans l’Ogooué Maritime, l’Estuaire, le Haut Ogooué et le Woleu-Ntem sur le plan local et avons aidé à la création des ONG sœurs au CONGO Brazzaville, en Mauritanie et au Cameroun.

Afrik.com : Quelles sont vos activités les plus récentes ?
Henri Michel Auguste :
Dernièrement nous avons assisté à une conférence organisée par la Banque Mondiale, où nous avons fait une intervention remarquée qui concerne l’Île Mandji et Port-Gentil, sur le changement climatique dont nous subissons les effets. Nous avons également depuis l’année dernière, inventorié le nombre de sachets plastiques, de piles et batteries utilisés dans la ville de Port-Gentil. Il y a environ 20 millions de sacs plastiques utilisés chaque année par les Port-Gentillais. Le chiffre est le même en ce qui concerne les piles et batteries, selon une enquête que nous avons menée entre 2007 et 2008. Les hommes doivent changer de comportement et arrêter d’agresser l’environnement. Et pour cela, il faut des décisions politiques courageuses, afin de sauver la planète et permettre aux générations futures de trouver une terre habitable.

Afrik.com : Quelles sont les sources de financements de votre ONG ?
Henri Michel Auguste :
Actuellement, nous nous finançons sur fonds propres et sur la capacité du bénévolat de nos membres. Nous espérons avoir des retours de la part de nos futures partenaires que sont les 2 Mairies principales du Gabon.

Afrik.com : Parlez-nous de vos difficultés ?
Henri Michel Auguste :
Les difficultés sont de plusieurs ordres. Il y a notamment le manque de bénévoles. Très peu de Gabonais montrent de l’intérêt pour nos activités, malgré des campagnes de recrutement et de sensibilisation. Nous n’avons presque pas de subvention de la part de l’Etat.

Afrik.com : Quelles sont vos projets actuels ?
Henri Michel Auguste :
Dans la protection de l’environnement, nous avons été certainement à l’origine de l’interdiction des sacs plastiques au Gabon, par notre démarche auprès des Mairies de Port-Gentil et de Libreville, même si les autorités ne sont pas allées jusqu’au bout de notre raisonnement. Car nous avions souhaité que notre pays passe aux sacs biodégradables et compostables, et non aux oxo dégradables qui sont une hérésie écologique, le combat continue car de plus en plus de pays dans le monde font le choix du biodégradable et compostables. Donc éradiquer le sac plastique ou oxo dégradable ou toute autre forme d’emballage plastique est notre premier combat et projet environnemental. Mais ce combat ne s’arrêtera pas. Le Gabon manque cruellement de logements dits sociaux et économiques, nous avons planché sur la question en proposant des logements écologiques et économiques, habitables en moins de 2 semaines aux Mairies de Libreville et de Port-Gentil. Dans le secteur des eaux usées, nous avons soumis l’idée aux 2 principales Mairies du pays de traiter ce problème écologiquement, par phytorestauration et phytoremédiation. Concernant les pollutions par hydrocarbures, nous proposons une manière écologique de traiter ces dernières, et non des solutions chimiques et/ou mécaniques qui sont très agressives pour la Biodiversité (Micro&Macro Faune et Flore).
Dans la protection de la nature, nous sommes en discussion avec les autorités provinciales de Port-Gentil pour la création d’une zone de 55 000 hectares au sud de l’Île Mandji à 40 kms de Port-Gentil, en Aire Protégée et Dirigée selon les critères de l’UICN. Sous la dénomination « Projet de l’Île Inguessi », cette aire accueillera différentes activités. Un laboratoire de terrain, une école de formation d’écogardes et d’écoguides, 5 éco-villages dans les 5 écosystèmes principaux de la zone pouvant accueillir des éco-touristes, une activité de protection des espèces de l’aire protégée et dirigée de l’INGUESSI. Nous avons présenté 2 autres projets que l’on souhaiterait développer sous les noms « d’Opération INGUWU » protection et réintroduction des hippopotames pour augmenter la population dans l’Aire de l’Île INGUESSI et « l’Opération N’DIVA » protection, comptage, etc.… des populations de tortues marines venant pondre sur la façade atlantique de l’Île Mandji.
Contact à Port Gentil.
Email - H2ogabon@yahoo.fr
Tel - 00 241 07 53 77 70.