Le Réchauffement Climatique est aujourd’hui l’un des
principaux moteurs de la dégradation des écosystèmes naturels à l’échelle
mondiale. Il modifie les équilibres biologiques, transforme les habitats et
pousse de nombreuses espèces au bord de l’extinction.
1. DES HABITATS BOULEVERSÉS.
L’augmentation des températures, la modification des régimes
de précipitations et la multiplication des événements climatiques extrêmes
(sécheresses, inondations, incendies, tempêtes) perturbent profondément les
milieux naturels :
- FONTE DES GLACIERS ET DES BANQUISES : disparition de
l’habitat des espèces arctiques comme l’ours polaire, le morse ou certaines
espèces de manchots.
- BLANCHISSEMENT DES CORAUX : l’acidification des océans et
la hausse des températures tuent les récifs coralliens, qui abritent 25 % de la
biodiversité marine.
- ASSÈCHEMENT DES ZONES HUMIDES : les marais,
mangroves et lacs s’évaporent ou se salinisent, mettant en péril des milliers
d’espèces.
- DÉFORESTATION INDIRECTE : les incendies favorisés par la
chaleur détruisent des millions d’hectares de forêts, libérant du CO2 et tuant
la faune.
2. ESPÈCES MENACÉES ET CHAÎNES ALIMENTAIRES PERTURBÉES.
Selon le GIEC et l’UICN, jusqu’à 1 million d’espèces
animales et végétales pourraient disparaître d’ici la fin du siècle si les
émissions de gaz à effet de serre ne sont pas réduites de manière drastique.
- MIGRATIONS FORCÉES : certaines espèces migrent vers les
pôles ou les altitudes plus élevées, bouleversant les écosystèmes d’accueil.
- PHÉNOLOGIE(a) DÉRÉGLÉE : floraison, reproduction,
hibernation ou migrations se produisent à des moments inadaptés, rompant les
synchronisations naturelles (ex : oiseaux migrateurs et disponibilité de
nourriture).
- PROLIFÉRATION D'ESPÈCES INVASIVES OU PATHOGÈNES : la
chaleur favorise la propagation de parasites, virus et espèces envahissantes au
détriment des espèces locales.
3. L'IMPACT SUR LES ÉCOSYSTÈMES TROPICAUX ET
AFRICAINS.
En Afrique, les forêts tropicales, les savanes, les zones
côtières et les grands fleuves (comme l’Ogooué) sont très vulnérables :
- RÉDUCTION DE LA PRODUCTIVITÉ VÉGÉTALE : avec des sols plus
secs et une baisse des pluies.
- MENACE SUR LES POLLINISATEURS : abeilles et papillons,
essentiels à la reproduction des plantes, sont touchés.
- FRAGILISATION DES ESPÈCES ENDÉMIQUES : comme les
amphibiens, primates ou grands félins, qui ont peu de marge d’adaptation.
4. L'EFFET BOULE DE NEIGE ÉCOLOGIQUE.
La perte de biodiversité affaiblit les capacités naturelles
de résilience des écosystèmes. Par exemple :
- MOINS D'ARBRES = moins de CO2 absorbé = réchauffement
aggravé.
- MOINS DE POISSONS = déséquilibres alimentaires =
effondrement des chaînes marines.
- MOINS D'INSECTES = baisse de la pollinisation = impact sur
l’agriculture et la sécurité alimentaire.
En conclusion : AGIR POUR LIMITER L'IMPACT DU
CHANGEMENT CLIMATIQUE,
Le maintien d’une biodiversité riche est essentiel pour
l’équilibre de la planète, la sécurité alimentaire, la santé humaine et la
lutte contre le changement climatique lui-même.
Protéger les écosystèmes, créer des aires protégées,
restaurer les milieux naturels, réduire les émissions et limiter la
déforestation sont autant d’actions cruciales POUR PRÉSERVER NOTRE PLANÈTE
VIVANTE.
(a) - PHÉNOLOGIE : étude des variations des phénomènes périodiques de la vie
animale et végétale, en fonction du climat.
Cet article a été rédigé avec l’assistance de ChatGPT (OpenAI, 2025), modèle
d’intelligence artificielle, pour environ 50% du contenu.
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